
MON HAPPY CANCER – ÉPISODE 8 – Comment j’ai revu mon alimentation…Partie 1
…alors que je pensais déjà manger sainement !
Chère lectrice, cher lecteur, après ce mois d’Octobre Rose 2025, un an après la découverte de la boule dans mon sein droit, j’ai choisi de te raconter mon histoire rose, pour me souvenir, et surtout ne pas oublier. Aussi pour laisser un témoignage à mes enfants très jeunes qui ne réalisent peut-être pas vraiment ce qu’ils viennent de traverser avec moi. Egalement pour aider celles (ceux) qui y trouveront peut-être du réconfort, une autre manière d’appréhender la maladie, ou tout simplement pour témoigner de mon expérience positive avec le cancer du sein métastatique dit « incurable ».
Si tu démarres la lecture, je te propose de retrouver le 1er épisode où je me présente et je te raconte comment un cancer du sein hormonodépendant, métastasique stade IV s’est invité dans mon corps. Dans l’épisode 2, je t’explique comment je l’ai senti grâce à mon auto-palpation, dans le 3ème épisode, je te parle de ma lutte contre les ingrédients cancérigènes dans les cosmétiques ! Dans le 4ème épisode, je te raconte mon diagnostic en deux étapes (une belle douche froide) et dans le 5ème épisode, je te confie ma compréhension de la maladie avec la langue des oiseaux et le biodécodage de chaque organe atteint. Dans le 6ème épisode, je racontais comment j’avais choisis l’oncologue qui allait me suivre et le traitement qui m’a été annoncé…à vie ! Et dans le 7ème épisode, je t’ai révélé comment j’ai abordé ce traitement à vie, avec bienveillance et sérénité !
Aujourd’hui, je te livre la 1ère chose que j’ai commencé à changer dans ma vie après l’annonce du cancer, tout ce que j’ai testé et comment j’ai appréhende depuis l’alimentation.
Point de départ, la naturopathie
J’ai fait plein de belles rencontres sur mon chemin de la guérison et elles ont commencé en Septembre 2024 lors d’un week-end « happy detox » entre filles. Au programme, détox alimentaire à base de jus de légumes, marche au bord de l’océan ou en forêt, conseils naturopathiques, yoga, …Mon corps à cette époque réclamait une détox, interessant comme symbolique…
Après l’annonce, j’ai fait un premier rendez-vous avec Cathy, cette naturopathe rencontrée en Septembre, qui était devenue une copine et dont la maman était décédée d’un cancer. Elle m’a dispensé ses précieux conseils pour revoir mon alimentation de manière générale, et en tenant compte de ses connaissances sur le cancer. Comme la vie est très bien faite – on attire ce qu’on mérite et ce qu’on vibre -, elle m’a donné les coordonnées d’une médecin généraliste (spécialisé en allopathie), très ouverte aux médecines alternatives. Elle pratiquait notamment l’auriculothérapie et l’acupuncture (je t’en parlerai une autre fois), elle prônait le naturel avec l’homéopathie, et avait déjà des patientes atteintes de cancer. On parlait le même langage, bingo, elle est devenue mon nouveau médecin.
Cette dernière m’a préconisé bien-sûr l’arrêt du sucre (1ère chose à laquelle on pense dans le cas de cette maladie, tant on en parle) et de passer en régime sans fodmap. Elle m’a expliqué que le corps n’avait pas besoin de « sucre ajouté » pour fonctionner, que l’énergie dont il avait besoin, pouvait résider dans les lipides, en schématisant simplement son explication. Elle m’a fourni toute une liste de choses d’aliments à éviter, complètement ou à certaines doses. J’ai écouté son discours, je me suis un peu renseignée – je dois avouer qu’à l’époque, je subissais pas mal, je faisais confiance aux experts -, et j’ai foncé ! J’avais un profond besoin de changement donc ça tombait bien 😂 J’ai abandonné mon végétarisme, pour un certain temps.

1ère étape : ma séparation à l’amiable, avec le sucre et l’acool !
Comment je suis passée de l’excès à plus rien…
La veille de l’annonce, je me suis enfilée un paquet de bonbons H…O entier et un paquet de M&Ms entier, tous les deux en entier, oui tu as bien lu, tous les 2 ! Je ne fais jamais les choses à moitié 😂 Cette grosse envie de sucre était liée à un besoin de réconfort et de consolation. Je te parle de ce que les envies de sucre disent de nous dans cet article. Et les bonbons, on les consomme souvent comme des « récompenses », des consolations, en écho à notre enfance. « Si tu es sage ou gentille, tu auras des bonbons. » Ces petites douceurs qui nous rendent le sourire et nous mettent du baume au coeur…
Et bien, ces deux paquets ont été les derniers. Rideau, H….O et moi, terminé, on a divorcé ! Mais à l’amiable 😂 Faut dire que depuis la naissance de mon 2ème enfant et la fatigue que je me traînais (comprendre je me traînais avec beaucoup de fatigue), j’entretenais une étroite liaison avec le sucre (les bonbons et les pâtisseries – hélas, c’est un des dommages collatéraux de la présence de cette pâtisserie à quelques mètres de la maison). On était à certaines périodes des inséparables. Comme des âmes soeurs. J’engloutissais parfois (pour ne pas dire souvent, voire toujours) les paquets en entier, d’un trait ! J’en achetais régulièrement. Et puis cela faisait un moment que notre relation s’était effilochée, nous avions pris nos distances. Mais de temps en temps, on se revoyait et on craquait 😉
Bref, tu l’auras compris, le sucre et moi, on a été très proche, voire trop proche ! Et depuis, j’ai arrêté le sucre, en arrêtant d’acheter des paquets de bonbons (que je refusais à mes enfants à l’époque, quelle belle hypocrisie ou la conscience que ce je faisais n’était pas bon pour mon corps), en ne mangeant plus de bonbons / pâtisseries, et en mettant un terme à ma relation avec l’alcool : finit les apéros – surtout ceux qui s’éternisent dans la soirée.
Sucre & cancer : ce que dit la science
À ce jour, aucune preuve scientifique ne montre que le sucre “cause” directement le cancer. Le MD Anderson Cancer Center rappelle : « Il n’existe aucune preuve montrant que le sucre cause directement le cancer. » Cependant, une consommation excessive de sucre favorise des mécanismes qui, eux, augmentent le risque de cancer : prise de poids, obésité, inflammation, résistance à l’insuline… Pour l’Association canadienne du cancer est claire : Le lien entre sucre et cancer est indirect, principalement via l’obésité et les déséquilibres métaboliques. En savoir +
Ce que je crois sur le lien entre le sucre et le cancer : je ne suis pas chercheuse, ni biologiste, ni oncologue et je ne prétends pas avoir la science infuse. Ce que je crois, c’est qu’en dehors de tout excès de sucre (reste à définir ce qu’est un excès, je dirais « consommer du sucre non naturel tous les jours »), s’il est consommé en conscience, pour se faire plaisir, pour se faire du bien, qu’il est savouré, sans culpabiliser, il n’est pas nocif. Lise Bourbeau dit que « tu es ce que tu penses, tu deviens ce que tu manges »…Maintenant, si tu en manges tous les jours ou des grosses quantités, tu prends des risques…

Alcool & cancer : ce que dit la science
« La consommation d’alcool augmente votre risque de cancer de la tête ou du cou, du sein, du côlon ou du rectum, de l’œsophage, du foie, de l’estomac et du pancréas. L’alcool et le tabac combinés – ainsi que le nombre de consommations – augmentent aussi votre risque de cancer. » selon la société canadienne du cancer.
Ce que dit l’intelligence artificielle : L’alcool est souvent banalisé dans notre culture, mais les preuves scientifiques sont aujourd’hui très solides : l’alcool est un facteur de risque avéré de plusieurs types de cancers. Voici les chiffres clés à connaître.
L’alcool, un cancérogène reconnu
Le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) classe l’alcool comme cancérogène avéré pour l’humain – Groupe 1. Il est impliqué dans plusieurs cancers, notamment sein, bouche, gorge, larynx, œsophage, foie, colon & rectum. (Source : CIRC / OMS).
Ce que montrent les études
Un lien clair entre alcool et cancers : L’Organisation Mondiale de la Santé estime que l’alcool est responsable d’environ 4 % des nouveaux cas de cancer dans le monde. (Source : OMS)
Alcool & cancer du sein :Même de faibles consommations d’alcool augmentent le risque :
- Une seule consommation alcoolisée par jour (≈ 10 g d’alcool) augmente le risque de cancer du sein de 7 à 10 % chez la femme (Source : American Institute for Cancer Research / WCRF)
- Le Centre International de Recherche sur le Cancer confirme un lien dose-dépendant : plus la consommation augmente, plus le risque augmente.
Exemple concret : Boire 2 verres par jour au lieu de 1 double quasiment le risque supplémentaire.
Zéro alcool = moindre risque : Selon Santé Publique France, 1 femme sur 8 développera un cancer du sein, et l’alcool est l’un des facteurs modifiables les plus importants sur lesquels agir. (Source : Santé Publique France).
Quelques données chiffrées
- +7 à +10 % de risque de cancer du sein pour 1 verre/jour
- Responsable de ~4 % des cancers dans le monde
- 5 à 6 types de cancers directement liés à sa consommation
- Aucun seuil “sans risque” n’a été établi
À retenir
Réduire sa consommation, sans forcément éliminer totalement, diminue déjà le risque.
Contrairement à une idée reçue, le “bon vin rouge” n’est pas protecteur contre le cancer. Les bénéfices cardio supposés ont été largement surestimés et ne compensent pas les risques.
Le risque commence dès une faible consommation, et augmente avec la quantité.
Ce que j’en pense
Encore une fois, c’est la consommation excessive, comme tous les jours, ou beaucoup en une soirée, chaque semaine, c’est la dose qui fait le poison. C’est la répétition et l’énergie que tu vibres en le consommant. La haute fréquence dénote un certain mal-être, l’alcool vient cacher ce que l’on veut faire taire, ou ne pas voir…Si tu bois un verre par-ci ou par-là, en conscience et avec plaisir, tout va bien. Ce n’est que mon avis !
Un an après…
Depuis, un an après, je consomme raisonnablement du sucre et de l’alcool. Cela signifie que j’en consomme rarement et en conscience. Quand il y a une occasion, ou quand j’ai en envie. En étant la plupart du temps consciente de mon envie soudaine. Avec plaisir. Sans culpabiliser. Ce n’est plus un moment de « craquage » mais une « pause douceur ». Et cela fait toute la différence.

2ème étape : régime cétogène, sans « FODMAP »
Ma rencontre avec l’alimentation cétogène sans fodmap
Pendant le RDV avec mon oncologue qui me faisait la prescription du traitement, on a parlé de ma toux (présente depuis plusieurs semaines), et de mon essoufflement depuis plus de 6-8 mois. Il ne savait pas dire d’où cela pouvait venir mais cela n’avait aucun lien avec le cancer, selon lui. On en est arrivé à parler de sucre et d’alimentation, il me disait de ne pas croire tout ce qu’on lisait sur internet, « Pas la peine de faire tous ces régimes dont on parle, cétogène, jeûne et cie. ». Dans ma tête, je me disais, ça tombe bien, c’est justement ce que je vais essayer 😉
Et en sortant du rendez-vous avec mon oncologue, alors qu’il me raccompagnait à l’accueil pour prendre le prochain rendez-vous (il fait toujours ça, après chaque rendez-vous, il nous raccompagne à l’accueil avec toute sa bienveillance et sa gentillesse), il m’a dit sur le chemin, « Voilà, ne changez rien surtout dans votre vie, faites comme avant. » Ce à quoi j’ai répondu, « Ah bah non, au contraire je vais tout changer ! » Je reste persuadée que la rémission (en langue des oiseaux = re-mission…) de mon cancer est liée à tous ces changements (tous ceux que je vais te raconter prochainement).
C’est donc suite à ma rencontre avec mon médecine pro-nature que j’ai démarré un régime cétogène, sans fodmap.
Les FODMAPs, c’est quoi au juste ?
Le terme FODMAPs est l’acronyme de Fermentable Oligo-, Di-, Monosaccharides And Polyols. Derrière ce nom un peu barbare se cachent en réalité des types de glucides (sucres) et fibres qui fermentent dans l’intestin et peuvent être difficiles à digérer pour certaines personnes.
SPOILER : Depuis que je me documente sur le biodécodage et le sens des maladies, je comprends que les personnes qui ont du mal à digérer les aliments sont des personnes qui ont vécu des choses qu’elles n’ont toujours pas digérées…
Plus concrètement, les FODMAPs sont :
- Oligosaccharides : fructanes & galacto-oligosaccharides (présents dans le blé, l’ail, l’oignon, les légumineuses…)
- Disaccharides : principalement le lactose (produits laitiers de vache, chèvre, brebis…)
- Monosaccharides : excès de fructose (miel, pomme, poire, sirop d’agave…)
- Polyols : sorbitol, mannitol, xylitol, maltitol… (dans certains fruits, légumes et édulcorants)
Ces éléments sont naturellement présents dans de nombreux aliments du quotidien, en particulier ceux riches en fibres, mais aussi dans certains produits sucrés transformés.
Pour la majorité des gens, ils ne posent aucun problème. Mais chez certaines personnes, notamment celles souffrant de syndrome de l’intestin irritable (SII), d’hypersensibilité intestinale, de maladies inflammatoires intestinales ou de troubles digestifs liés au stress, les FODMAPs peuvent provoquer :
- ballonnements
- gaz
- douleurs abdominales
- diarrhée ou constipation
- digestion lente et inconfort abdominal
Pourquoi ? Parce qu’ils sont mal absorbés dans l’intestin grêle et fermentent ensuite dans le côlon, nourrissant les bactéries et créant des fermentations qui peuvent devenir inconfortables quand le système digestif est sensible.
SPOILER : Les personnes hypersensibles, facilement irritables, très en colère ou très tristes (sans forcément le conscientiser), risquent d’avoir des troubles digestifs.
Manger “sans FODMAP” : en quoi ça consiste ?
On devrait plutôt parler de régime pauvre en FODMAPs que de “sans FODMAP”, car l’objectif n’est pas de les supprimer à vie, mais de réduire temporairement les aliments qui fermentent le plus pour apaiser le système digestif.
Ce protocole se déroule généralement en 3 phases :
1️⃣ Phase d’élimination (3 à 6 semaines)
On réduit fortement l’apport en FODMAPs pour soulager l’intestin et observer une diminution des symptômes.
Exemples d’aliments limités : blé, oignon, ail, pommes, poires, lait de vache, légumineuses, choux, miel, édulcorants polyols…
2️⃣ Phase de réintroduction (6 à 8 semaines)
On réintroduit progressivement, catégorie par catégorie, afin d’identifier les FODMAPs réellement problématiques et le seuil de tolérance de chacun.
Chaque personne réagit différemment :
✦ certains tolèrent le lactose mais pas le blé,
✦ d’autres l’inverse,
✦ d’autres encore uniquement certains fruits.
3️⃣ Phase de personnalisation (long terme)
Au lieu d’une restriction stricte, on construit une alimentation sur mesure, en gardant les FODMAPs bien tolérés et en ajustant les quantités de ceux plus sensiibles.
C’est donc un protocole d’écoute de soi, pas un régime permanent.
Tout cela dépend de la porosité de ton intestin et de ton microbiote intestinal. Ce qui convient à l’un, peut ne ps convenir à l’autre.

Le régime cétogène, c’est quoi exactement ?
Le régime cétogène (ou “keto”) est un mode d’alimentation qui vise à modifier profondément la façon dont le corps produit son énergie. Il consiste à réduire fortement les glucides (sucres et féculents) afin d’amener l’organisme à utiliser principalement les graisses comme source de carburant.
Dans une alimentation dite « classique », notre énergie provient majoritairement du glucose issu des glucides.
En keto, comme ces glucides sont extrêmement limités, le corps passe dans un état métabolique appelé cétose : il fabrique alors des corps cétoniques à partir des graisses pour alimenter le cerveau, les muscles et les cellules.
Ce changement de carburant peut avoir de multiples effets : stabilisation de l’énergie, réduction de l’inflammation, meilleure régulation de la glycémie, diminution des fringales… mais il demande une réelle adaptation.
En quoi consiste “manger cétogène” au quotidien ?
Le régime cétogène se caractérise par une répartition précise des macronutriments :
- Glucides : 5 à 10 % des apports (soit environ 20 à 50 g de glucides/jour en moyenne)
- Protéines : 15 à 20 %
- Lipides : 70 à 80 %
L’objectif est de maintenir la cétose de façon durable.
Concrètement, cela signifie :
✅ Aliments privilégiés :
- Légumes pauvres en glucides (courgette, brocoli, épinards, chou-fleur…)
- Graisses saines : avocat, huile d’olive, huile de coco, beurre clarifié, oléagineux
- Protéines de qualité : poissons, œufs, volailles, tofu, tempeh
- Fromages et crème entière (selon tolérance)
❌ Aliments limités ou exclus :
- Sucre sous toutes ses formes (y compris miel, sirops, pâtisseries…)
- Féculents : pain, pâtes, riz, semoule, pommes de terre
- La plupart des fruits (sauf petites portions de fruits rouges)
- Légumineuses
- Produits transformés riches en glucides
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le cétogène n’est pas un régime hyperprotéiné : ce sont les graisses qui constituent la principale source énergétique.
Mon expérience personnelle
J’ai suivi la liste fournie par cette docteure pro-nature pendant plusieurs semaines, beaucoup d’aliments crus et verts, d’autres blanchis. Pas de féculents. Pas de sucre. Des légumes de saison. Mais je n’ai pas suivi les recommandations à la lettre, notamment concernant le fromage car j’adore ça, et je ne voulais pas non plus rentrer dans un schéma d’alimentation, qui rime avec frustration. Je l’ai fait pendant environ 1 mois. Puis j’ai commencé à faire du jeune intermittent. Je ne mangeais plus le soir, mon dernier repas était à 17h. Et j’ai fait cela pendant 1 à 2 mois. C’était compliqué avec mes enfants, que j’avais désormais en garde alternée. Ah oui, c’est vrai, je ne t’en ai pas encore parlé mais la 1ère chose que j’ai faite le jour où j’ai démarré mon traitement, j’ai quitté mon conjoint…
Je crois que ce qui est important, c’est de connaître son corps et ses besoins, les principes d’une alimentation saine et bienfaisante, et d’agir avec responsabilité, c’est à dire en connaissance de causes…
SPOILER : Entre mon nouveau régime alimentaire, mon grand lâcher-prise, ma séparation et ma nouvelle liberté retrouvée, j’ai perdu 15 kg en très peu de temps. Ces 15kg émotionnels dont je n’arrivais pas à me séparer depuis 2 ans au moins…
La suite, dans le prochain épisode.
En attendant, prends bien soin de toi, ta peau et tes pensées…
Carole
A propos de l’autrice
Développée par Carole Marchais, éco-cosmétologue consciente, Les Happycuriennes est la 1ère ligne de dermo-soins holististes bio & vegan aux heureuses plantes botaniques de notre Douce France, co-créée par sa communauté de 700 femmes (une première mondiale). Sa mission, apporter une solution à toutes les humeurs de peau et tous les désordres cutanés. Cette joyeuse marque propose de vivre au rythme du slow bonheur avec un rituel de beauté minimaliste et complice avec la peau. Elle célèbre le vrai “Made in France” avec des plantes natives des terroirs du Sud-Ouest et prône une beauté positive, éloignée des diktats de la beauté parfaite.
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