MON HAPPY CANCER – ÉPISODE 7 – QUAND J’AI ABORDÉ AVEC BIENVEILLANCE MON TRAITEMENT A VIE !

Chère lectrice, cher lecteur, après ce mois d’Octobre Rose 2025, un an après la découverte de la boule dans mon sein droit, j’ai choisi de te raconter mon histoire rose, pour me souvenir, et surtout ne pas oublier. Aussi pour laisser un témoignage à mes enfants très jeunes qui ne réalisent peut-être pas vraiment ce qu’ils viennent de traverser avec moi. Egalement pour aider celles (ceux) qui y trouveront peut-être du réconfort, une autre manière d’appréhender la maladie, ou tout simplement pour témoigner de mon expérience positive avec le cancer du sein métastatique dit « incurable ».

Si tu démarres la lecture, je te propose de retrouver le 1er épisode où je me présente et je te raconte comment un cancer du sein hormonodépendant, métastasique stade IV s’est invité dans mon corps. Dans l’épisode 2, je t’explique comment je l’ai senti grâce à mon auto-palpation, dans le 3ème épisode, je te parle de ma lutte contre les ingrédients cancérigènes dans les cosmétiques ! Dans le 4ème épisode, je te raconte mon diagnostic en deux étapes (une belle douche froide) et dans le 5ème épisode, je te confie ma compréhension de la maladie avec la langue des oiseaux et le biodécodage de chaque organe atteint. Dans le 6ème épisode, je racontais comment j’avais choisis l’oncologue qui allait me suivre et le traitement qui m’a été annoncé…à vie !

Aujourd’hui, je te livre l’annonce du traitement et comment j’ai choisi de l’aborder avec bienveillance et sérénité.

L’annonce du traitement…

« Pas de chimiothérapie, pas de radiothérapie, ce ne sera pas efficace sur votre type de cancer. »

Ok très bien. Je suis presque rassurée de ne pas avoir ce type de traitement lourd qui aurait été un terrible challenge pour moi. Mais pas impossible.

Pour rappel, j’avais un cancer du sein rare (15% des cancers du sein) lobulaire, hormonodependant et métastatique (tumeurs au niveau des ganglions + colonne vertébrale). Je dis « j’avais » car je suis en rémission et je me considère guéris puisque je suis en re-mission.

La « mal a dit » est un déséquilibre en la vie actuelle et le chemin de vie de l’âme. La re-mission est la compréhension et l’acceptation que l’on n’est pas sur son chemin de vie. Que l’on a envie et besoin de bifurquer pour revenir sur le bon chemin. C’est ma compréhension des choses en tout cas. Cette digression étant faite, repartons à mon récit d’annonce du traitement.

« Votre cancer métastatique est à vie, on va l’accompagner d’un traitement d’hormonothérapie pour vous mettre en ménopause artificielle, et empêcher les hormones de faire proliférer votre cancer dans le corps. A ce stade, il faut empêcher la maladie de se propager davantage.

Ce traitement va vous permettre de « contenir » la maladie, l’empêcher de se » propager ». C’est à vie, il n’y a pas de guérison, il peut y avoir des récidives et on peut changer le traitement. De nombreuses femmes vivent 15 ans avec leur traitement (et après ?…). » C’est amusant car j’ai entendu des femmes parler de leur traitement dans la salle d’attente du 1er oncologue que j’allais rencontrer. Elles disaient cela justement, qu’elles étaient sous traitement depuis longtemps, et elles avaient l’air d’aller bien. Toujours est-il qu’à ce stade, ce qui résonne en moi, c’est…

PAS D’ESPOIR

PAS DE GUERISON ENVISAGÉE

PAS DE MOT OPTIMISTE SUR MON AVENIR, SUR MA VIE !

Sauf que moi, j’ai envie de vivre, j’ai terriblement envie d’être vivante ! Pour mes enfants, et pour moi surtout ! Pas pour le reste de ma famille, peu présente, peu aimante à ce stade.

Si je comprends bien, aujourd’hui, à un an de tout cela, il y a toujours des (risques) reprises de tumeurs / récidives…c’est pour cela que personne ne prononce le mot GUERISON pour un cancer métastatique. Et je dois vivre avec cela ! J’ai parcouru les réseaux sociaux, les comptes Instagram de personnes atteintes de cancer métastatique, et le discours y est très pessimiste. Soit les personnes sont en récidive, soit elles sont parties, soit elles ont peur de récidiver. J’ai d’ailleurs essayé de porter des messages d’espoir sur des comptes qui parlent de cancer avec comme fil conducteur, la peur et la colère. Résultat : il n’y a pas eu d’intéraction ou de réponses encourageantes en retour. Ce n’est pas étonnant, chacun réagit avec ses ressentis, ses émotions, ses croyances limitantes.

En tout cas, tout cela ne m’empêche pas de penser que JE SUIS GUERIS et que la récidive est une étape que je ne considère pas. Je pars du principe que j’ai compris le message de mon cancer : un conflit au sein du nid familial avec une autorité, une personne masculine. Message reçu, compris et action ! J’en parlerai plus loin.

Hormonothérapie médicaments pour cancer du sein métastatique

Mon traitement d’hormonothérapie à vie…

« Vous allez être sous HORMONOTHÉRAPIE, ce traitement va vous mettre en MÉNOPAUSE ARTIFICIELLE. » J’étais déjà en périménopause, je le sentais avec quelques symptômes légers. Des petits douleurs dans les seins (objet de ma consultation en mars 2024 mais rien n’est apparu). Les insomnies (ou mon inconscient qui me parlait de mon inconfort dans ma vie actuelle). Une irritation palpable (ou les conséquences des mauvaises nuits au rythme de mes insomnies). Des cycles à peu près régulier mais pas toujours. Quelques bouffées de chaleur, que je pensais être juste des moments où j’ai chaud 😉

Ma réaction à l’annonce de cette ménopause : ah m…. je viens juste de m’acheter un set de culottes menstruelles 🩷😂. Ah génial, finit le débarquement des anglais 🩷😂. En vrai, j’ai réagit comme cela : c’est ok. J’ai accepté la sentence comme j’ai accepté le verdict de la maladie. Pourquoi “lutter” contre ce que l’on ne maîtrise pas ?

Symbolique de mon traitement en 3 prises

L’hormonothérapie est un traitement qui a pour objectif d’empêcher les cellules cancéreuses de recevoir les hormones dont elles ont besoin pour se développer. Les modalités thérapeutiques utilisées seront différents selon que vous êtes ou non ménopausée, en sachant que c’est le statut hormonal avant le diagnostic qui compte. L’hormonothérapie est un traitement basée, soit sur la privation en œstrogènes des cellules tumorales, soit sur le blocage des récepteurs hormonaux aux estrogènes (RE).

Mon interprétation : un traitement pour réduire mes hormones liées au féminin en excès, pour ré-équilibrer avec ma part de masculinité. L’énergie féminine est une énergie dite « intérieure » : liée à l’introspection, la créativité, la douceur, la sensibilité aux émotions, l’intuition. Elle est associée au spirituel. Le Yin relaxe. L’énergie masculine est quant à elle plus dirigée vers l’extérieur, dans l’action, la force, la logique, la stratégie. Le Yang stimule, il excite. J’en comprends un besoin de moins s’attarder sur mes émotions et de plus passer à l’action.

Mon traitement se compose de 3 médicaments dans mon cas, tiens donc, encore mon nombre fétiche 😉 Je vais vous énoncer leur rôle biologique, mon décodage simplifié et mon interprétation.

1/ UNE PIQÛRE MENSUELLE : ENANTONE LP

Scientifiquement (selon l’institut Gustave Roussy) : Elle induit un blocage ovarien pour induire une ménopause artificielle, en complément des 2 autres comprimés qui vont suivre. Ce traitement est administré sous forme d’une injection sous cutanée une fois tous les mois.

Dit autrement : Elle est destinée à couper le cycle ovarien. Elle agit sur le cerveau pour bloquer la production des hormones qui stimulent les ovaires, ce qui réduit considérablement la production d’œstrogènes.

Mon interprétation : on oblige mon cerveau à ne pas fonctionner naturellement et on lui ordonne de ne pas fabriquer les hormones liées à la féminité. Tiens cela résonne avec des secrets de famille et des traumas d’enfance…Est-ce cela signifie un traitement qui bloque la féminité, un traitement dominé par la masculinité ? C’est un réflexion et non un jugement négatif de mon traitement. C’est ok, je le reçois avec bienveillance.

2/ UNE PILLULE QUOTIDIENNE : FEMARA

Scientifiquement (selon l’institut du cancer du sein Henri Hartmann) : Le Létrozole (nom chimique de la molécule du Femara) est un médicament essentiel dans le traitement adjuvant du cancer du sein hormono-dépendant chez les femmes ménopausées. Il agit en inhibant l’aromatase, une enzyme cruciale dans la production d’œstrogènes, contribuant ainsi à réduire le risque de récidive.

  • Le Létrozole réduit la production d’œstrogènes chez les femmes ménopausées atteintes de cancer du sein.
  • Il est administré quotidiennement sous forme de comprimé, généralement pendant 5 à 10 ans.
  • Un suivi médical régulier est nécessaire pour gérer les effets secondaires potentiels.
  • L’observance du traitement est cruciale pour maximiser son efficacité.
  • Une pause thérapeutique peut être envisagée, mais doit être discutée avec l’oncologue.

Dit autrement : Ce médicament est là pour empêcher la production d’oestrogènes (au cas où le corps n’aurait pas compris avec la piqure), soit inhiber la production d’une enzyme qui transforme les androgènes en oestrogènes.

Mon interprétation : on force mon corps à ne pas fonctionner naturellement et on l’empêche de transformer les hormones liées à la masculinité en hormones liées à la féminité. Est-ce cela signifie un traitement qui bloque la féminité, un traitement dominé par la masculinité ? C’est un réflexion et non un jugement négatif de mon traitement. C’est ok, je le reçois avec bienveillance.

3/ UN COMPRIMÉ TOUTES LES 3 SEMAINES : KISQALI

Scientifiquement (selon l’institut du cancer du sein Henri Hartmann) : Le Kisqali (Ribociclib) est un inhibiteur des CDK4/6 utilisé dans le traitement du cancer du sein RH+/HER2– avancé, avec un potentiel prometteur pour les stades précoces grâce à l’étude NATALEE. Il agit en bloquant la division des cellules tumorales, offrant ainsi une meilleure qualité de vie et réduisant le risque de récidive. Bien toléré, il nécessite un suivi pour gérer d’éventuels effets secondaires comme la neutropénie et la fatigue.

• Action ciblée sur les cellules cancéreuses RH+/HER2–.
• Utilisation possible dès les stades précoces.
• Surveillance nécessaire des effets indésirables. En savoir +

Il est pris toutes les 3 semaines avec une pause d’une semaine car il dégomme les globules blancs, qui « protègent » notre immunité. On laisse ainsi le corps résilient remonter son niveau d’immunité pendant une semaine avant de repartir au travail.

Dit autrement : Ce comprimé bloque une « voie spécifique » dans les cellules cancéreuses qui favorise leur croissance et leur division. Soit leur multiplication et leur propagation.

Mon interprétation : Là, on empêche les cellules du cancer de proliférer. Pas d’interprétation en lien avec le féminin ou masculin. On empêche le corps d’alerter le message d’un dysfonctionnement au niveau de l’âme. Pas étonnant qu’il y ait une liste d’effets secondaires gigantesques. C’est un réflexion et non un jugement négatif de mon traitement. C’est ok, je le reçois avec bienveillance.

EFFECTIVEMENT, AUCUN MOT EN LIEN AVEC UN PROCESSUS DE « DESTRUCTION » DES CELLULES CANCEREUSES DONC PAS DE GUÉRISON ENVISAGÉE…

Et suite à l’annonce de ce traitement, on vous parle d’une liste A4, recto verso, et re-recto re-verso des EFFETS SECONDAIRES. Presque plus effrayant que tout le reste. L’oncologue me les détaille (et j’avoue j’ai très peu écouté) puis je suis reçue par un infirmière du service des traitements qui m’en remet un couche pour que je sois bien informée. Je ne critique pas, au conctraire, c’est très bien d’être bien informé comme cela. D’ailleurs, j’ai apprécié que mon oncologue me dise que cela dépend des gens, on n’est pas obligé d’avoir ces effets secondaires, etc. Un discours assez positif. Cela tombe bien, car là aussi, j’ai décidé que je n’en aurai pas ou peu, si bien que j’ai à moitié écouté ce qui m’a été dit ce jour-là. JE NE VOULAIS PLUS QUE DU POSITIF DANS MA VIE ! J’ai été invitée à consulter ensuite une personne en soin de support, et c’est seulement à ce moment-là que j’ai pris conscience que je pouvais perdre mes cheveux. Un mini choc car je n’avais pas entendu (écouté) cette sentence quand on m’a listé les effets secondaires.

En bref, à ce moment-là, j’ai ressenti, « c’est ok ce traitement, il va me sauver la vie, je le reçois avec bienveillance. » Et à ce moment-là, je ne savais pas encore que c’est moi qui allait sauver ma vie…

Comment j’ai abordé mon hormonothérapie ?

Bien. Même très bien. Comme une bonne copine qui va m’accompagner dans la vie pour une meilleure santé.

Tout d’abord, j’ai créé mon autel de la guérison, très important. Mon sanctuaire qui allait regrouper mes éléments de guérison.

Mon espace sacré…

J’AI CRÉÉ CET ESPACE SACRÉ DANS MA CHAMBRE : UN PANNEAU AVEC ÉCRIT JE VEUX GUÉRIR + MES 3 BOÎTES DE MÉDICAMENT

Cet espace sacré a évolué avec un nouvel écriteau et une intention plus forte, JE VEUX GUÉRIR, des dessins de mes enfants à côté, un ange gardien acheté sur un marché de Noël, de l’école de mon cadet Hugo. Un poster des montagnes des Pyrénées que j’aime tant. Une boule de noël argentée. Un mini pot de La Complice pour la purification de mon être.

Je suis allée acheter mon traitement et comble du hasard (ou pas), et la pharmacienne que j’ai choisie (j’ai hésité entre 2) m’a accueilli d’une manière extraordinaire. J’ai tendu mon ordonnance, elle l’a lue et m’a regardée en me disant, « C’est mon mari, vous allez voir on va bien s’occuper de vous. » Et le plus incroyable c’est que lorsque mon oncologue m’avait reçu, je m’étais dit intérieurement, il est très occupé ce monsieur, il travaille beaucoup, parfois la nuit, je me demande ce que fait sa femme, pour vivre à côté d’un homme très investi dans un tel travail, à vocation tellement humaine. Et voilà que la réponse m’était apportée.

J’ai décidé de commencer ce traitement le 23 décembre car je suis née un 23 octobre, je vous symbolisais ma Re-Naissance. Et j’ai décidé ce même jour de me séparer du papa de mes enfants. Ce jour est porteur d’une grande symbolique à mes yeux…

De la musique…

TOUTES LES PIQURES SE PASSENT EN MUSIQUE, que ce soit les piqûres mensuelle d’énantone ou celles qui précèdent la reprise de Kisqali (on vérifie chaque mois que les globules blancs et je ne sais plus quel élément de mon corps, soient bien à un taux correct pour ne pas affaiblir mon corps courageux et vaillant).

J’ai choisi la musique que m’a fait découvrir mon amie Isa (celle qui m’avait annoncé son cancer et qui m’avait donné l’idée de me palper…). Ce sera “Vivre” de Grégoire que j’ai fait résonner des centaines de fois, avec mes super infirmières de quartier qui sont extra ! Comme par hasard 3 femmes séparées…

Cette chanson résonne vraiment pour moi, que ce soit les paroles ou le clip, avec ces enfants dont une petite fille qui me semble être moi. Voici un extrait :

« Oui, mes amis, nous allons vivre
Et vivre fort, intensément
À ne regarder que devant
Vivre à plus de 100 000 %
En oubliant qu’on va mourir.

….

Oui, mes amis, nous allons vivre
Vivre toujours en se disant
Qu’à part l’amour, rien n’est urgent
Le reste est vain, inconsistant
Car un jour, nous allons mourir. »

Ecouter Vivre de Grégoire

Une intention à chaque prise

JE PRENDS MES COMPRIMÉS EN LES REMERCIANT DE M’AIDER A GUERIR.

Au début, j’avais mis en place plein de rituels pour maximiser la bienveillance et la gratitude et puis, c’est devenu plus un geste machinal du quotidien, bien accepté, bien intégré. Au départ, on fait connaissance avec cette personne qui devient ensuite une fidèle amie.

Fanatique de l’interprétation, de la symbolique et des signes, j’ai même attribué une intention à chacun de mes pilules magiques 😉

• LA PILULE JAUNE (Fémara) = couleur de La joie de Vivre !

Il y a des initiales dessus FV et CG que j’ai décodé à ma sauce 😉

FV = Fais ta Vie ! et CG = Carole, tu Gères !

• LA PILULE MAUVE GRIS = couleur de la spiritualité, la transformation, la guérison, l’introspection

Il y a des initiales dessus RIC et NVR

RIC = Regarde à l’Intérieur Carole

NVR = Ne Vois-tu Rien ?

Disparition de ma culotte de cheval

Après un an de traitement…

Alors oui, j’ai quelques effets secondaires (je vais écrire un article sur le sujet), ils sont minimes, ce sont surtout ceux de la ménopause (sueurs nocturnes, bouffées de chaleur), insomnie, fatigue, perte de cheveux MAIS j’ai compris comment ils fonctionnement, qu’ils viennent de moi et pas uniquement des médicaments. Ils viennent du petit hamster dans sa roue qui ressasse parfois, de mon hygiène de vie et j’arrive à en avoir AUCUN par période de PAIX INTÉRIEURE …

Et après échanges avec mon oncologue, on est passé de …VOUS ALLEZ AVOIR CE TRAITEMENT A VIE…à

Dans 3 ans, si vous n’avez toujours plus de tumeur, on fait une biopsie, s’il n’y a rien et bien……On l’arrête !

RIEN EST IMMUABLE !

Croire en moi et mon corps est le plus beau cadeau que je me suis offert ! 🩷🙏💛🌟💜

La suite, dans le prochain épisode.

En attendant, prends bien soin de toi, ta peau et tes pensées…
Carole

Carole Marchais Experte Cosmetologie Peau Heureuse
A propos de l’autrice

Développée par Carole Marchais, éco-cosmétologue consciente, Les Happycuriennes est la 1ère ligne de dermo-soins holististes bio & vegan aux heureuses plantes botaniques de notre Douce France, co-créée par sa communauté de 700 femmes (une première mondiale). Sa mission, apporter une solution à toutes les humeurs de peau et tous les désordres cutanés. Cette joyeuse marque propose de vivre au rythme du slow bonheur avec un rituel de beauté minimaliste et complice avec la peau. Elle célèbre le vrai “Made in France” avec des plantes natives des terroirs du Sud-Ouest et prône une beauté positive, éloignée des diktats de la beauté parfaite. 

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