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Se comprendre pour mieux comprendre sa peau, Episode 2

Il y a des livres qui arrivent dans nos vies comme des messagers. Des histoires qui, sous couvert de fiction, résonnent si fort qu’elles semblent nous parler directement. La Mémé qui pédalait autour du monde en fait partie. Ce livre m’a appelée dans une librairie début décembre, attirée par la couverture, le résumé m’a plu, je pensais faire un voyage dans le monde à travers paysages et expériences. Je ne m’attendais pas à cela quand j’ai décidé de le lire, bien après l’annonce de mon cancer du sein métastatique. J’ai démarré sa lecture en février. Ce roman de Gabrielle Zevin m’a touchée en plein cœur, car il fait écho à ma propre quête : celle de la liberté, du lâcher-prise et de la réconciliation avec soi-même. Un livre incroyable !

Synopsis

Maru a grandi au Chili dans un orphelinat dont elle s’échappe à l’âge de douze ans et rejoint Santiago. Engagée comme domestique par un couple de Mexicains, la jeune femme traverse de nombreuses épreuves, fuit de ville en ville et abandonne même mystérieusement son fils. À quatre-vingt-dix ans, celle qu’on appelle désormais mémé Maru vit paisiblement ses dernières années à Oaxaca, où elle travaille à l’orphelinat, et sillonne la ville sur sa bicyclette turquoise. Lorsqu’elle apprend l’existence de son petit-fils, Elmer, qui habite à Veracruz et dont elle ignore tout, elle se lance dans une traversée du Mexique à vélo. Partant à l’assaut d’un monde inconnu et regorgeant de trésors, mémé Maru nous entraîne dans une épopée où la destination compte moins que le voyage.
Le roman qui a ému le monde entier.

Une histoire merveilleuse et poétique. Une belle leçon de vie. Lilyslibrary.

Une fable magique, emplie d’humour et de positif. Atrapalibros.

Traduit de l’espagnol par Anna Souillac.

Un livre comme un souffle d’aventure

L’histoire suit Mémé Maru, une grand-mère qui, après un événement bouleversant, décide de tout quitter pour partir à vélo autour du monde. Un départ à la fois insensé et profondément logique : quand tout s’effondre, pourquoi ne pas réinventer sa vie ?

Au fil des pages, on découvre une femme qui s’affranchit des attentes, qui brave la solitude et l’inconnu, et qui trouve dans le mouvement une forme de guérison. Son périple n’est pas seulement géographique, il est intérieur.

Chaque coup de pédale est une avancée vers une nouvelle version d’elle-même.

Et si on osait partir ?

Ce livre m’a renvoyée à ma propre exploration.

Ces derniers temps, chaque lecture, chaque film semble me murmurer un message : celui de l’appel au voyage, pas forcément au sens physique, mais dans la manière dont je peux avancer avec moi-même.

Je ne peux pas tout quitter pour faire le tour du monde à vélo, mais je ressens cette même nécessité de partir, autrement. Mon cancer m’a déjà forcée à ralentir, à repenser mes priorités, à m’écouter différemment. Et pourtant, l’envie d’explorer, de me réinventer, est toujours là. Comme Mémé Maru, j’ai compris que le véritable voyage ne se mesure pas en kilomètres, mais en transformations intérieures.

Se libérer des poids invisibles

Mémé Maru pédale pour fuir, mais aussi pour se retrouver. Elle s’allège de tout ce qui l’encombrait : les regrets, les peurs, les injonctions sociales. C’est une ode à la liberté, au droit de choisir son propre chemin, à n’importe quel âge.

Et moi, quels sont les poids que je porte encore ? Quels sont les bagages émotionnels dont je pourrais me délester ? Ce livre m’a donné encore plus envie d’explorer ces questions, de voir chaque étape de mon propre parcours comme une étape de plus vers une légèreté intérieure. Je fais déjà plusieurs thérapies introspectives et un travail personnel avec des livres, un cahier ou une feuille planche, j’écris, je dessine, je colorie…

Un voyage intérieur à chacun sa manière

La Mémé qui pédalait autour du monde n’est pas qu’un roman sur le voyage, c’est un roman sur le courage de vivre autrement. Peut-être que mon vélo à moi, ce sont mes mots, mes choix quotidiens, les petits pas que je fais vers une vie plus alignée avec qui je suis vraiment.

Et toi, quel serait ton voyage ? Que ferais-tu si tu osais écouter cet élan intérieur qui te pousse vers l’inconnu ?

Carole Marchais Experte Cosmetologie Peau Heureuse
A propos de l’autrice

Développée par Carole Marchais, éco-cosmétologue consciente, Les Happycuriennes est la 1ère ligne de dermo-soins holististes bio & vegan aux heureuses plantes botaniques de notre Douce France, co-créée par sa communauté de 700 femmes (une première mondiale). Sa mission, apporter une solution à toutes les humeurs de peau et tous les désordres cutanés. Cette joyeuse marque propose de vivre au rythme du slow bonheur avec un rituel de beauté minimaliste et complice avec la peau. Elle célèbre le vrai “Made in France” avec des plantes natives des terroirs du Sud-Ouest et prône une beauté positive, éloignée des diktats de la beauté parfaite. 

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